Merci tonton pour l'accueil!
On se capte dans la semaine pour rayman, pas mal du tout d'ailleurs!
A Ripa, les prix sont bas (Meet'em all Paris 12/05)
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sagara-kun
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C'est aussi ça de scorer..
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Tonton
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(Plutôt la semaine prochaine, là avec le pont ça va être chaud.)sagara-kun a écrit :Merci tonton pour l'accueil!
On se capte dans la semaine pour rayman, pas mal du tout d'ailleurs!
MK a écrit :"Si Faraday aime bien, c'est que ça sent le purin"
Un week-end chez Tonton, récit.
Par le grand con.
Nous partîmes 500, mais par un prompt renfort nous nous vîmes 3 en arrivant en clio.
Bien entendu, les discussions dans la voiture, à l'aller, ont eu une haute portée philosophique, comme d'ailleurs tout ce qui s'est dit pendant le week-end. Putes. Mikagoldo, Max.Faraday et moi, pensez donc : nous avons reposé les bases d'un nouvel existencialisme, vous trouverez les minutes de cet entretien dans un prochain tome de la Pléïade.
M'enfin tout cela s'était avant le drame !
Je veux dire l'arrivée à Paris, Porte de La Chapelle, en plein Barbès, un samedi après-midi. Et là, une heure pour environ un kilomètre.Vous comprendrez aisément que notre acuité intellectuelle a laissé place à des interjections façon "Quel canard ce Tonton !" ou encore "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
(Au passage, j'ai un très imposant stock de cigarettes de contrebande, de faux sacs Gucci, de lunettes, etc..., à écouler, faites moi signe si jamais...)
Sans compter les vieux !
Parce qu'en fait, on devrait jeter direct les vieux à la poubelle !
Car quand enfin nous sommes arrivés face à l'entrée du parking souterrain, un couple de vieux n'a rien trouvé de mieux que de s'y garer, là comme ça l'air de rien ! Il a fallu l'intervention musclée de Faraday pour les déloger de là à coups de pompes dans le train...
Bref.
Enfin nous arrivons chez Tonton, après un détour par un parc pour enfants, pour se détendre, et moult portes, couloirs et portes. Un périple qui aura permis à Baboulinet, Trizealbis, Coven et Tonton de se rhabiller.
C'est petit chez Tonton, très petit.
D'aucuns diront que c'est chaleureux, mais non. C’est petit.
Par contre ça a de la gueule : terrasse en face du Sacré-Cœur, vue de la Tour Eiffel. Je remarque que depuis qu’ils ne se cachent plus, les Tonton-like ne se refusent rien…
Petite pause pipi-bière, départ pour Arcade Street. 3 shmups, du Cave, très bon : Galuda II, DDP, Futari BL. Difficile de se concentrer, de jouer sérieusement, la faute à Faraday. Putes.
Tonton nous éclate sur Garou Mark Of The Wolves, en trichant, heureusement Faraday nous sauvera.
Passage par Neo-Legend, votre serviteur a d’ailleurs failli mourir en route écrasé par un chauffard. C’est sympa Neo Legend, c’est pas donné mais c’est sympa.
Retour chez Tonton, Mackie, qui nous a rejoint, a dû péter la gueuele d’un connard dans le métro. Repas pizzesque préparé avec amour par un Tonton nu sous son tablier « C’est le chef qui a la plus grosse saucisse ».
La nuit démarre, les jeux défilent jusqu’à 5 heures du mat’, avec un Baboulinet en grande forme, notamment sur le Futari.
On se couche, pas tous ensemble mais presque, et là je dois râler : qu’est-ce que c’est que ce type qui a sifflé une partie de la nuit sous prétexte que je ronflais ?!?
Bref.
Le lendemain, lévés vers 10 heures, p’tit déj’, jeux, Mac Do avec 40 jeanettes pubères que Tonton nous a gracieusement offertes. (étrange non d’être scout à Barbès ?) Vany nous rejoint.
Damned, il est beau, ça tranche !
Podcast, rejoints en live par Kibo et Sagara-Kun.
Podcast terminé, ceux qui ont de la route quittent l’appart, les autres enlèvent leur ceinture.
On récupère la caisse, on se regarde tous les trois : "Quel canard ce Tonton !", "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
Par le grand con.
Nous partîmes 500, mais par un prompt renfort nous nous vîmes 3 en arrivant en clio.
Bien entendu, les discussions dans la voiture, à l'aller, ont eu une haute portée philosophique, comme d'ailleurs tout ce qui s'est dit pendant le week-end. Putes. Mikagoldo, Max.Faraday et moi, pensez donc : nous avons reposé les bases d'un nouvel existencialisme, vous trouverez les minutes de cet entretien dans un prochain tome de la Pléïade.
M'enfin tout cela s'était avant le drame !
Je veux dire l'arrivée à Paris, Porte de La Chapelle, en plein Barbès, un samedi après-midi. Et là, une heure pour environ un kilomètre.Vous comprendrez aisément que notre acuité intellectuelle a laissé place à des interjections façon "Quel canard ce Tonton !" ou encore "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
(Au passage, j'ai un très imposant stock de cigarettes de contrebande, de faux sacs Gucci, de lunettes, etc..., à écouler, faites moi signe si jamais...)
Sans compter les vieux !
Parce qu'en fait, on devrait jeter direct les vieux à la poubelle !
Car quand enfin nous sommes arrivés face à l'entrée du parking souterrain, un couple de vieux n'a rien trouvé de mieux que de s'y garer, là comme ça l'air de rien ! Il a fallu l'intervention musclée de Faraday pour les déloger de là à coups de pompes dans le train...
Bref.
Enfin nous arrivons chez Tonton, après un détour par un parc pour enfants, pour se détendre, et moult portes, couloirs et portes. Un périple qui aura permis à Baboulinet, Trizealbis, Coven et Tonton de se rhabiller.
C'est petit chez Tonton, très petit.
D'aucuns diront que c'est chaleureux, mais non. C’est petit.
Par contre ça a de la gueule : terrasse en face du Sacré-Cœur, vue de la Tour Eiffel. Je remarque que depuis qu’ils ne se cachent plus, les Tonton-like ne se refusent rien…
Petite pause pipi-bière, départ pour Arcade Street. 3 shmups, du Cave, très bon : Galuda II, DDP, Futari BL. Difficile de se concentrer, de jouer sérieusement, la faute à Faraday. Putes.
Tonton nous éclate sur Garou Mark Of The Wolves, en trichant, heureusement Faraday nous sauvera.
Passage par Neo-Legend, votre serviteur a d’ailleurs failli mourir en route écrasé par un chauffard. C’est sympa Neo Legend, c’est pas donné mais c’est sympa.
Retour chez Tonton, Mackie, qui nous a rejoint, a dû péter la gueuele d’un connard dans le métro. Repas pizzesque préparé avec amour par un Tonton nu sous son tablier « C’est le chef qui a la plus grosse saucisse ».
La nuit démarre, les jeux défilent jusqu’à 5 heures du mat’, avec un Baboulinet en grande forme, notamment sur le Futari.
On se couche, pas tous ensemble mais presque, et là je dois râler : qu’est-ce que c’est que ce type qui a sifflé une partie de la nuit sous prétexte que je ronflais ?!?
Bref.
Le lendemain, lévés vers 10 heures, p’tit déj’, jeux, Mac Do avec 40 jeanettes pubères que Tonton nous a gracieusement offertes. (étrange non d’être scout à Barbès ?) Vany nous rejoint.
Damned, il est beau, ça tranche !
Podcast, rejoints en live par Kibo et Sagara-Kun.
Podcast terminé, ceux qui ont de la route quittent l’appart, les autres enlèvent leur ceinture.
On récupère la caisse, on se regarde tous les trois : "Quel canard ce Tonton !", "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
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Mug Superstar
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Excellent 
Mug
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Dias a écrit :
Elle rentre et j'engage le protocole social sans la regarder :
- "j'ai commencé une partie d'Eschatos je dois la finir, je le sens bien !... Et me parle pas, ça me déconcentre !"
Elle rentre et j'engage le protocole social sans la regarder :
- "j'ai commencé une partie d'Eschatos je dois la finir, je le sens bien !... Et me parle pas, ça me déconcentre !"
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baboulinet
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Hoo POUTAIN je sifflais car un sans gêne ronflait crescendo nondediou!Hydeux a écrit :
On se couche, pas tous ensemble mais presque, et là je dois râler : qu’est-ce que c’est que ce type qui a sifflé une partie de la nuit sous prétexte que je ronflais ?!?
et je remercie aussi faraday qui lui a sûrement donné une latte ce qui m'a permis de dormir une heure 
La suite :
Dimanche matin, 9h45.
La lumière extérieure générée par un soleil radieux (c’est normal, on est vachement au sud !) perce à travers les volets, façon Apocalypse Now. Il faut dire que l’atmosphère est lourde : baskets parisiennes, hommes qui ronflent, vivement l’ouverture des fenêtres…
A 10h tout le monde est debout, Tonton vétu d’une simple serviette se dirige vers la douche en fredonnant « Je Je suis libertine » de Mylène Farmer et nous prenons notre petit déjeuner en baissant les yeux, cherchent à ne pas céder au désir fou qui monte en nous : le rejoindre !
Pour lui dire de fermer sa gueule !
Mikagoldo et Trizealbis nous rejoignent. Ils ont effectivement passé la nuit « à l’extérieur », sans donner plus de précisions… C’est louche mais je n’ai guère le temps de m’attarder sur ce détail : la version 1.01 du Futari tourne, je m’incruste cependant que Tonton sort de la salle de bain toujours vétu de la même serviette et entonnant cette fois « If you want my body, and you think I’m sexy, come on Sugar let me know… » de Rod Stewart. Dur de se concentrer…
Ma décision est prise il sera mien !
Le jeu hein ! La version 1.01 du Futari !
Baboulinet est un peu en deçà ce matin, il semble qu’un malhonnête lui ait pourri sa nuit, sans doute un coup de Faraday.
Le Sacré Cœur est réapparu, il avait disparu la veille dans un voile d’obscurité, de fatigue et de bière. Rassurés par son retour on ouvre quelques bières.
S’en suit un repas dans un grand restaurant parisien réservé par Tonton (dont je me suis laissé dire qu’il avait ses entrées dans quasiment tous les cercles parisiens). Je ne connaissais pas l’enseigne « MacDhod’barbesse », mais le patron en semble fort sympathique : un solide gaillard noir déguisé en clown façon ça.
Afin d’agrémenter notre copieux repas, Tonton avait pris soin de faire venir une troupe de prostituées manifestement indonésiennes (car âgées de moins de 15 ans). « Une adresse que Dominique m’avait filée à Lille » me confia notre hôte. Voyant Tonton si proche des hommes de pouvoir, je me dis que moi aussi je devrais élargir le cercle de mes amis…
Notre repas ne fut troublé que par deux incidents mineurs : Coven, se croyant au travail devant tant de chair fraiche, s’est déshabillé ; ne voulant pas laissé un collègue seul, je décide de le suivre mais je ne peux pas : impossible de quitter mon T-Shirt à l'effigie du site, offert la veille par un homme de goût ! Je n'enlèverai donc que mon pantalon...
Deuxième incident, plus grave, Vany nous a rejoints. Fichtre le gaillard est gaulé, nous décidons de renvoyer les danseuses de peur de le voir se les accaparer…
Coven est déçu. Je remets mon pantalon.
La vie ne fait décidément pas de cadeau…
De retour au bercail, démarrage du podcast après un brief général de ma part, préparé de la veille pour galvaniser les troupes : « Bon c’est facile, vous fermez bien vos mouilles et vous êtes toujours d’accord avec moi bande de noobs !!! ».
L’enregistrement se passe bien, en 3 parties pour éviter les plantages. Tonton a sorti son instrument afin de nous faire partager ses talents, Mackie et Vany chauffe l’ambiance à base de « virgules vulgaires » : tout baigne.
Juste avant la 3ème partie, les carabiniers d’Offenbach nous rejoignent : Kibo et Sagara-Kun font leur entrée. Un peu tard : ils ont loupé le Q de Faraday devant le sacré cœur…
Kibo tente de nous étouffer avec des gâteaux fabriqués par un sorcier africain, nous résistons tant que faire se peut…
Fin du podcast, je découvre avec effroi que nous étions filmés, je suis mal : ma femme me pensait dans un séminaire intitulé «De l’harmonie du couple en élevant ses enfants ».
Devant rentrés dans le Grand Nord, Mika, Fara et moi (c’était pas une chanson de Douchka ça ?!?) quittons l’assemblée, en même temps que Coven, Mackie et Baboulinet. Nous laissons donc derrière nous Kibo, Vany, Sagara et Tonton alors que Tonton chante cette fois une œuvre majeure du répertoire lyrique « Où est passée ma chemise grise ». Il faut dire qu’il est effectivement torse nu depuis le matin, toujours vétu de sa simple serviette…
On récupère la caisse, on se regarde tous les trois : "Quel canard ce Tonton !", "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
Dimanche matin, 9h45.
La lumière extérieure générée par un soleil radieux (c’est normal, on est vachement au sud !) perce à travers les volets, façon Apocalypse Now. Il faut dire que l’atmosphère est lourde : baskets parisiennes, hommes qui ronflent, vivement l’ouverture des fenêtres…
A 10h tout le monde est debout, Tonton vétu d’une simple serviette se dirige vers la douche en fredonnant « Je Je suis libertine » de Mylène Farmer et nous prenons notre petit déjeuner en baissant les yeux, cherchent à ne pas céder au désir fou qui monte en nous : le rejoindre !
Pour lui dire de fermer sa gueule !
Mikagoldo et Trizealbis nous rejoignent. Ils ont effectivement passé la nuit « à l’extérieur », sans donner plus de précisions… C’est louche mais je n’ai guère le temps de m’attarder sur ce détail : la version 1.01 du Futari tourne, je m’incruste cependant que Tonton sort de la salle de bain toujours vétu de la même serviette et entonnant cette fois « If you want my body, and you think I’m sexy, come on Sugar let me know… » de Rod Stewart. Dur de se concentrer…
Ma décision est prise il sera mien !
Le jeu hein ! La version 1.01 du Futari !
Baboulinet est un peu en deçà ce matin, il semble qu’un malhonnête lui ait pourri sa nuit, sans doute un coup de Faraday.
Le Sacré Cœur est réapparu, il avait disparu la veille dans un voile d’obscurité, de fatigue et de bière. Rassurés par son retour on ouvre quelques bières.
S’en suit un repas dans un grand restaurant parisien réservé par Tonton (dont je me suis laissé dire qu’il avait ses entrées dans quasiment tous les cercles parisiens). Je ne connaissais pas l’enseigne « MacDhod’barbesse », mais le patron en semble fort sympathique : un solide gaillard noir déguisé en clown façon ça.
Afin d’agrémenter notre copieux repas, Tonton avait pris soin de faire venir une troupe de prostituées manifestement indonésiennes (car âgées de moins de 15 ans). « Une adresse que Dominique m’avait filée à Lille » me confia notre hôte. Voyant Tonton si proche des hommes de pouvoir, je me dis que moi aussi je devrais élargir le cercle de mes amis…
Notre repas ne fut troublé que par deux incidents mineurs : Coven, se croyant au travail devant tant de chair fraiche, s’est déshabillé ; ne voulant pas laissé un collègue seul, je décide de le suivre mais je ne peux pas : impossible de quitter mon T-Shirt à l'effigie du site, offert la veille par un homme de goût ! Je n'enlèverai donc que mon pantalon...
Deuxième incident, plus grave, Vany nous a rejoints. Fichtre le gaillard est gaulé, nous décidons de renvoyer les danseuses de peur de le voir se les accaparer…
Coven est déçu. Je remets mon pantalon.
La vie ne fait décidément pas de cadeau…
De retour au bercail, démarrage du podcast après un brief général de ma part, préparé de la veille pour galvaniser les troupes : « Bon c’est facile, vous fermez bien vos mouilles et vous êtes toujours d’accord avec moi bande de noobs !!! ».
L’enregistrement se passe bien, en 3 parties pour éviter les plantages. Tonton a sorti son instrument afin de nous faire partager ses talents, Mackie et Vany chauffe l’ambiance à base de « virgules vulgaires » : tout baigne.
Juste avant la 3ème partie, les carabiniers d’Offenbach nous rejoignent : Kibo et Sagara-Kun font leur entrée. Un peu tard : ils ont loupé le Q de Faraday devant le sacré cœur…
Kibo tente de nous étouffer avec des gâteaux fabriqués par un sorcier africain, nous résistons tant que faire se peut…
Fin du podcast, je découvre avec effroi que nous étions filmés, je suis mal : ma femme me pensait dans un séminaire intitulé «De l’harmonie du couple en élevant ses enfants ».
Devant rentrés dans le Grand Nord, Mika, Fara et moi (c’était pas une chanson de Douchka ça ?!?) quittons l’assemblée, en même temps que Coven, Mackie et Baboulinet. Nous laissons donc derrière nous Kibo, Vany, Sagara et Tonton alors que Tonton chante cette fois une œuvre majeure du répertoire lyrique « Où est passée ma chemise grise ». Il faut dire qu’il est effectivement torse nu depuis le matin, toujours vétu de sa simple serviette…
On récupère la caisse, on se regarde tous les trois : "Quel canard ce Tonton !", "D'façon moi j'voulais rester en face !"...
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baboulinet
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- Inscription : 10 oct. 2010, 17:55
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C'est tellement vrai
