Allez, j'vais essayer de repartir sur un post journalier sur ce topic, avec un blackdiva à chaque coup.
Aujourd'hui au menu : mangez vous donc ce classique inoxydable en pleine face. Cognac de rigueur, même si vous ne risquez de toute façon pas de rouiller en mettant vos oreilles en contact avec le talent des Crusaders et Randy Crawford.
Version lp, vu que c'est un pur groupe de Jazz, les Crusaders, leurs lp ne comportent souvent que 4 pistes en tout : 2 sur chaque face. De plus ou moins 10 minutes chacunes, donc. "Les maxis singles 12" c'est pour les gitans, lulz."
allez, tant qu'a y être avec Patti Austin et l'année 1980 (en fait 1981 aux crédits, mais bien enregistré en 1980), sortons "da bomb" :
prod de Quincy Jones, chanson de Stevie Wonder, avec Patti Austin aux lyrics et Louis Johnson(des Brothers Johnson, parmi les tout meilleurs gratteux ever quand même) à la basse. Ça, hein, ça s’appelle un All-Star. Pour de vrai.
Sur le même lp, "Ai No Corrida". T'en veux toi, de la diversité disco sur un album de Jazzmen?
allez, un peu de Boogie pour ambiancer la soirée. Et allons-y pour un gros classique du label Americain SAM, qui compte parmi les plus influents dans le début 80's pour tout ce qui est 12" maxi single.
B.B.C.S. & A. Band - Rock Shock 1982
Et pour faire plaisir à mon bon Uberwing, un truc master kitchos Allemand avec un barbu, et un jeu de talon / pointe à faire palir Collin McRae. Ce bon gout Germanique des années guerre froide, ça fait froid dans le dos. C'est surement le but, en plus.
purée, j'pensai pas vu comme tu me les avais décrit que je serais client du son de Black Sabbath, mais pour le coup, si.
J'me suis un peu noyé dans le son ce soir, notamment via les quelques lien ultra bienvenu que tu m'as filé en mp (j'ai kiffay )...et allez, pour trancher (vraiment) net, voici un gros son raregroove produit et chanté par 2 blanc BCBG, qui a son p'tit cult following. Le disque est très cher, aussi, ça joue.
La pochette montre bien les vrais artistes, si vous en doutiez. Mais y a pas de raison d'en douter non plus en fait, donc bon.
J'étais tranquillement en train d'écouter Bloodsport des Sneaker Pimps (un de mes vieux classiques du trip-hop et assimilés)...
...quand soudain, un pote m'envoie un message disant, je cite : "Cette année, Rob Halfold aura 67ans. Je viens de découvrir que Judas Priest, en revanche, n'avait pas vieilli." avec un lien de fort bon aloi pour illustrer.
Sans dec', ce cédé est sorti y a deux mois... Pour comparaison, ça, c'était en 1982 (pour les vrais, ça se passe à 4:02 ;) )
Yan 'skoeldpadda' Holliday. Docteur ès roguelikes. Agrégé en shmup. Blogueur pulp.
P'tain la simple évocation Juda Priest, perso, me procure un double effet kiss kool : frissons d'incompréhension totale face au leader et son larynx de chat noir/style général de mec en cuir tout droit sorti d'Hellraiser, et frissons de plaisir face au break de folie de Pain Killer.
Au passage, @skoeldpadda : le duo Beth & Joe fait vraiment parti de mes révélations musicale du 21 siècle sans déconner, merci mec. Rien que le close to my fire, là, il m'a ravagé de l'intérieur. Et allez, on est parti pour 2 des plus talentueux duo de frères de l'histoire de la musique contemporaine, génies gratteux absolu : les Brothers Johnson.
Si la zik vous dit quelque chose de précis sans avoir même connaissance du groupe, pensez à Jacky Brown et plus particulièrement la scène de "Beaumont s'est pris une balle dans le citron".